Ancien chef d’entreprise reconverti depuis 2008 dans la vente directe et le marketing de réseau, Jean-Marc Thimoléon est un homme heureux. En rejoignant la société LR spécialisée dans la vente directe de produits cosmétiques, il a trouvé la liberté et la reconnaissance qu’il attendait.
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Jean-Marc Thimoléon, en 2008, vous décidez de laisser derrière vous votre emploi pour vous lancer dans la vente directe. Pourquoi avoir franchi le pas ?
Avant tout cela, j’étais chef d’entreprise. J’ai tout d’abord eu une première expérience de 3 ans dans la vente directe, mais elle n’a pas été concluante. Ayant auparavant cédé mon entreprise, il m’a fallu rebondir.
J’ai donc testé pendant 1 an les produits cosmétiques de la société LR. Appréciant le concept, la liberté que procure le métier et la force de ce réseau, j’ai rejoint LR en 2008.
Ce qui m’a décidé est d’avoir une liberté de choix et une indépendance financière tout en aidant un maximum de personnes dans le secteur que j’aurais choisi. En développant mon réseau de distributeurs chez LR, je suis parvenu à avoir des revenus réguliers sous forme de bonus en fonction du volume de ventes réalisé par mes partenaires.
Aviez-vous une formation ou une expérience qui a orienté ce choix ?
Je n’avais ni formation ni expérience dans la vente directe ou le marketing de réseau. Je recherchais juste une solution pour être libre sur tous les plans. Ma priorité était de pouvoir décider d’où je travaille, avec qui je travaille, quand je travaille, etc.
Attention toutefois, car ce métier demande beaucoup de rigueur et d’autodiscipline même si désormais je me mets mes propres contraintes.
5 ans après, où en êtes-vous ? Quels bénéfices tirez-vous de cette expérience ?
Je réalise à quel point les bénéfices de mon travail sont fantastiques. Je travaille avec ma compagne, je voyage, je me fais plaisir au quotidien, mais aussi j’aide les autres et j’ai des revenus confortables.
Je suis loin du monde traditionnel compétitif et axé sur la pression. Maintenant, je coopère au succès des autres en leur donnant les moyens de réussir dans la vente directe. Je les accompagne pour qu’ils puissent eux aussi accéder à cette liberté de choix. Ma réussite est donc proportionnelle au nombre de réussites que je génère.
Avez-vous des astuces à donner aux personnes qui voudraient se lancer ? Tout le monde peut-il le faire ?
Tout le monde peut tenter sa chance dans la vente directe pour peu qu’il y ait derrière une réelle envie de changer quelque chose à sa situation. Sans motivation solide, c’est l’abandon assuré !
Dans la vente directe, ce qui compte n’est pas le QI (Quotient Intellectuel) mais le QE (Quotient Emotionnel). Un ancien ouvrier peut se retrouver à former quelqu’un de très diplômé, ce qui nécessite une bonne dose d’humilité.
Je conseille aussi de conserver son emploi dans un premier temps et d’attendre pour démissionner d’atteindre 2 fois ses revenus.
De même, les candidats doivent choisir le bon partenaire et non le premier venu. Au-delà de vendre des produits plaisants, il faut vérifier que la société propose des structures d’accompagnement et de soutien aux nouveaux distributeurs. Il convient de savoir à combien de personnes elle a réussi à donner de la réussite. Sans soutien, il est très difficile de s’en sortir.
Quels sont vos projets pour les années à venir ?
Mon objectif est de faire encore grandir le réseau et d’aider de plus en plus de gens à réussir dans la vente directe et à être autonomes.
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Titulaire d’un DEA Sciences de l’information, Rédactrice web / print, correctrice, écrivain public, créatrice de Virtual Papyrus : Emmanuelle Collin connait sur le bout des doigts toutes les questions liées à la micro-entreprise et à la formation.
